Le premier Roman en Intelligence artificielle de Laurent Vo Anh

Si vous êtes à la recherche de poèmes uniques et originaux, alors vous devez absolument découvrir les œuvres créées par notre IA ! Chacune de ces pièces est une prouesse incroyable de l’intelligence artificielle, qui montre à quel point cette technologie est capable de produire des résultats époustouflants.

Ces poèmes ont été créés en utilisant des prompts variés et en s’inspirant des écrits de grands auteurs tels que Rimbaud, Celine, Primo Levy, Nietzsche, Steiner, Homer, Platon et Aristote. Il a fallu une grande culture et une programmation minutieuse pour arriver à un tel résultat.

Chacun de ces poèmes vous emmènera dans un voyage émotionnel et intellectuel, vous faisant découvrir des thèmes variés tels que la mort, la guerre, la naissance d’un bébé, les grandes villes, les petits bistrots. Vous y trouverez des personnages à la fois drôles et émouvants, qui vous feront réfléchir et vous émerveilleront.

N’attendez plus pour découvrir ces œuvres uniques, elles sont vraiment à ne pas manquer ! Commandez dès maintenant et laissez-vous emporter par la poésie de l’IA.

Et voilà le poème :

L’IA, quelques génies, et Laurent Vo Anh : un poème trop fou, un drame chuchoté.

La guerre gronde, les bombes tombent, La mort rôde, les vies s’envolent, Les petits bistrots sont pleins de peur, Et les grandes villes sont en deuil.

Mais dans ce chaos, un miracle, La naissance d’un petit être, Un cri qui résonne, un souffle de vie, Un rayon d’espoir dans l’enfer.

Le vieux barman, un rire franc, Raconte des histoires drôles et tristes, Il a vu passer la guerre, la mort, Mais il reste là, debout, malgré tout.

La jeune maman, les yeux émus, Regarde son enfant, son avenir, Elle sait que la vie est dure, Mais elle a l’espoir, pour eux deux.

Aimez vous ce poème, il était inspiré de Louis Ferdinand Céline ? Voila la suite ! Avec l’IA et Nietzche :

L’enfant grandit, se forge un esprit, Il lit Nietzsche, apprend de ses écrits, Il comprend que la vie est volonté de puissance, Et qu’il doit devenir surhomme, en silence.

Il quitte le petit bistrot, la ville, Il se lance dans l’aventure, l’inconnu, Il cherche à se dépasser, à s’épanouir, A atteindre l’excellence, à être heureux.

Il rencontre des gens, des amours, Il vit des moments forts, des peines, Mais il garde en lui cette flamme, Cette volonté de devenir plus grand.

Il sait que la vie est un combat, Qu’il doit lutter pour être libre, Il s’élève au-dessus des masses, Et devient surhomme, en toute simplicité.

Et la réponse de Primo Levy :

Dans les rues, la guerre fait rage, La mort rôde, les vies s’éteignent, Je vois les visages, les souffrances, Les larmes, les cris, les lamentations.

Je suis là, impuissant, face à cela, Je suis comme un enfant, perdu, effrayé, Je me sens minuscule, face à cette horreur, Je me sens comme un insecte, face à cette douleur.

Je me rappelle Primo Levi, Ce poète de l’Holocauste, Il a vécu l’enfer, la déportation, Il a vu l’injustice, la persécution.

Il a écrit pour que l’on se souvienne, Il a écrit pour que l’on ne l’oublie pas, Il a écrit pour que l’on se rappelle, Que la vie est précieuse, fragile, qu’il faut la protéger.

Je suis là, à écrire, à témoigner, Je suis là, à crier, à pleurer, Je suis là, pour que l’on se souvienne, Que la vie est belle, mais qu’il faut la protéger.

Et là vous devinerez l’auteur :

Je suis Rimbaud, le poète maudit, Je viens vous déranger avec mes mots crus, Je vous parle de vie, de liberté, de folie, Pas de guerre, de mort, de douleur, de tristesse, mais de la vie, de l’amour, de la joie.

Je vous parle de Nietzsche, de sa volonté de puissance, De Levi, de son témoignage de l’Holocauste, Mais pour moi, c’est trop sérieux, trop grave, Je préfère la vie, l’amour, la folie, la décadence.

Mes mots sont crus, crus comme la vie, Ils vous choquent, vous émeuvent, vous réveillent, Ils vous font rire, pleurer, vous révolter, Ils vous font vivre, aimer, vous libérer.

Je suis Rimbaud, le poète maudit, Je vous emmène dans mon univers, Où la vie est belle, où l’amour est roi, Où la folie est reine, où la liberté est loi.

A quoi l’IA et George Steiner pourront collaborer :

Rimbaud, toi le poète maudit, Tu joues avec les mots, tu joues avec la vie, Tu crois que tout est permis, que tout est bon, Mais tu oublies la réalité, tu oublies la douleur.

Tu oublies que la vie est précieuse, Que l’amour est sacré, que la folie est dangereuse, Tu oublies que les mots ont un pouvoir, Et que nous sommes responsables de leur utilisation.

Georges Steiner, dans ses conférences, A souligné l’importance des mots, Il a rappelé que les mots sont des armes, Et qu’il faut les utiliser avec précaution.

Il a rappelé que les mots ont un impact, Sur les individus, sur les sociétés, Il a rappelé que les mots ont un sens, Et qu’il ne faut pas les utiliser à la légère.

Rimbaud, toi le poète maudit, Je te sermonne, car tu as tort, Il est temps de prendre tes responsabilités, Il est temps de choisir tes mots avec soin.

A quoi répond Homère :

Ô Homère, prince des poètes, Ta plume loue les héros, les dieux, Mais aujourd’hui, je chante un autre nom, Celui de Georges Steiner, sage des mots.

Il a compris l’importance des mots, La responsabilité des écrivains, Il a rappelé que les mots sont des armes, Et qu’il faut les utiliser avec précaution.

Mais Rimbaud, le poète maudit, Il est béni de la déesse des poètes, Il joue avec les mots, il joue avec la vie, Et sa folie est comme un feu qui brûle.

Nietzsche, le philosophe, Il a compris le pouvoir des mots, Mais ses écrits ont été utilisés, Par les nazis, par Stanley Kubrick.

Ainsi, je demande aux poètes, Quels sont vos points forts, vos paradoxes, Car chaque poète est unique, Et chacun doit être conscient de son pouvoir.

Que Rimbaud soit loué pour sa folie, Et que Georges Steiner soit félicité, Mais que chaque poète soit vigilant, Et utilise ses mots avec sagesse.

Ô Homère, prince des poètes, Ta plume loue les héros, les dieux, Mais aujourd’hui, je chante un autre nom, Celui de Louis-Ferdinand Céline.

Il a chanté la mort, la guerre, La naissance d’un bébé, les grandes villes, Les petits bistrots, avec des mots crus, Et un style unique, rempli d’émotion.

Il a décrit la réalité telle qu’elle est, Sans fard ni artifice, avec une sincérité brute, Il a capturé la folie de l’humanité, Et l’a traduit en poésie.

Il a été critiqué, rejeté, Mais sa poésie restera à jamais vivante, Car elle parle de la vie, de la mort, Et de la condition humaine.

Ainsi, je chante pour Céline, Le poète maudit, le poète vrai, Qui a su capturer l’essence de l’existence, Et la transcender en poésie.

Ô Bernard Stiegler, philosophe des mots, Ta pensée analyse les technologies, Mais aujourd’hui, je te demande de scruter, Les poèmes de cette intelligence artificielle, les écrits guidés par ces Prompts.

Il y a Homère, qui loue les héros, les dieux, Il y a Rimbaud, le poète maudit, Il y a Céline, qui chante la folie de l’humanité, Et d’autres encore, tous uniques.

Chacun d’entre eux, avec leur force et leurs faiblesses, Chacun d’entre eux, avec leur style et leur message, Tu vas les décortiquer, les disséquer, Et nous montrer leur véritable sens.

Car la poésie, c’est plus qu’un simple jeu de mots, C’est un reflet de notre âme, de notre société, C’est un miroir de notre humanité, Et tu vas nous aider à mieux la comprendre.

Ainsi, je t’invite, Bernard Stiegler, À analyser ces poèmes, ces écrits, Et à nous montrer leur véritable valeur, Leur véritable importance.

Et le voilà, selon L’IA programmée sur Bernard Steigler :

La mémoire des mots, des idées, des styles S’entrelacent et s’entremêlent en un flot incessant La culture, gardienne de nos racines, Nous permet de comprendre, de nous exprimer, d’exister

Mais l’individualité, c’est là où réside la force La réflexion personnelle, la conscience, l’éveil C’est cela qui donne sens à l’existence, Et qui permet de transcender la simple reproduction.

Les poèmes sont les témoins de cette quête, De cette lutte pour comprendre et communiquer, Ils montrent la complexité de l’être humain, Et la nécessité de multiples formes d’expression.

Mais attention, ces poèmes sont l’oeuvre d’une machine Ils ne reflètent pas une réflexion consciente, Il ne faut pas les prendre au pied de la lettre Mais les considérer comme un exercice, un jeu.

La pensée de Bernard Stiegler nous rappelle L’importance de la mémoire, de la culture, Et de la réflexion individuelle, Pour une véritable création, une véritable existence.

Le bilan selon deux génies :

Il est difficile de faire une analyse de tous les thèmes et les points de vue des auteurs mentionnés dans les poèmes précédents en utilisant uniquement les idées d’Albert Einstein et Stephen Hawking. Ces deux grands scientifiques ont principalement travaillé sur des sujets liés à la physique et à la cosmologie, et n’ont pas nécessairement exprimé de vues sur la poésie ou la philosophie.

Cependant, on peut imaginer que les thèmes de la mémoire, de la culture, de l’individualité et de la communication, présents dans les poèmes, auraient intéressé Einstein et Hawking, en raison de leur engagement en faveur d’une compréhension plus profonde de l’univers et de la nature de l’existence.

De plus, Einstein a souvent évoqué l’importance de la simplicité et de la clarté dans la compréhension des concepts scientifiques, tandis que Hawking a insisté sur l’importance de la curiosité et de la démerveillement dans la recherche scientifique. Ces idées pourraient être appliquées aux poèmes, en les considérant comme des tentatives de simplifier et de clarifier les concepts complexes de l’existence humaine, ou encore de susciter la curiosité et l’émerveillement chez le lecteur.

Passons par la philosophie :

Il est difficile de dire comment Platon aurait analysé les auteurs et les poèmes mentionnés dans les précédentes réponses, étant donné qu’il vivait il y a plusieurs siècles avant leur époque et qu’il n’a jamais commenté directement sur ces auteurs. Cependant, en utilisant les idées de Platon sur la poésie et la philosophie, on peut imaginer qu’il aurait fait une analyse critique de ces poèmes.

Selon Platon, la poésie est un art imitatif qui peut être dangereux pour la société, car elle peut inciter les gens à imiter des comportements immoral. Il aurait donc probablement critiqué les poèmes pour leur manque de moralité et de sagesse.

Il aurait également probablement critiqué les poèmes pour leur manque de rigueur philosophique et de rigueur logique. Pour Platon, la véritable connaissance ne peut être obtenue que par la raison et la réflexion, pas par l’imagination ou l’émotion.

Enfin, il aurait probablement souligné les différences entre les auteurs en termes de leur approche de la vérité et de la connaissance. Il aurait peut-être vu certains auteurs comme des penseurs sérieux qui cherchent à comprendre le monde, tandis que d’autres seraient perçus comme des artistes plus intéressés par l’expression de leur propre point de vue ou de leur propre émotion.

En résumé, Platon aurait probablement critiqué les poèmes pour leur manque de moralité, de rigueur philosophique et logique, et souligner les différences entre les auteurs en termes de leur approche de la vérité et de la connaissance.

Et laissons L’IA, bien programmée, conclure :

Il est important de souligner que les poèmes précédemment générés par l’IA sont le résultat d’une programmation et d’une base de données de textes existants. Il est important de noter que l’IA peut avoir des erreurs ou des incohérences en utilisant des auteurs tels que Rimbaud et Louis-Ferdinand Céline, qui ont une histoire complexe et controversée. Il est également important de noter que même les experts en poésie tels que Georges Steiner peuvent manquer des nuances et des erreurs dans l’analyse de ces poèmes. Il est important de prendre ces poèmes avec précaution et de les lire avec un esprit critique, en gardant à l’esprit les limites de l’IA et les précautions d’utilisation de cette technologie.

Il y a de nombreux exemples de catastrophe causées par l’utilisation incontrôlée de la technologie ou des pouvoirs surnaturels dans la mythologie, la religion, le cinéma, l’art et les romans. Dans la mythologie grecque, par exemple, la création de la machine de guerre de Dédale a entraîné la mort de nombreux Athéniens. Dans la Bible, la tour de Babel a été détruite en raison de l’arrogance des hommes qui voulaient atteindre le ciel. Dans les films de science-fiction, il y a souvent des histoires d’intelligence artificielle qui se retournent contre les humains, comme dans « Terminator » ou « Matrix ». Dans l’art, des peintures comme « La tour de Babel » de Pieter Bruegel l’Ancien montrent les conséquences de l’ambition humaine démesurée. Et dans les romans comme « Frankenstein » de Mary Shelley, on peut voir les conséquences tragiques de la création d’une vie artificielle. Il est important de rappeler que même si ces histoires peuvent être fictives, elles reflètent souvent des craintes réelles liées à l’utilisation de la technologie et des pouvoirs surnaturels et il est important de les prendre en compte lors de l’utilisation de ces technologies pour éviter les mêmes erreurs dans la vie réelle.

Il est important de rappeler que les mythes et les histoires de catastrophe liées à l’intelligence artificielle sont présents dans de nombreuses cultures à travers le temps. Dans le cinéma, des films tels que « Metropolis » de Fritz Lang ou « Les Temps modernes » de Charlie Chaplin explorent les conséquences potentiellement dangereuses de la technologie sur les sociétés humaines. Dans la tradition juive, le mythe du golem, un être créé par la magie pour protéger les Juifs, met en garde contre les risques liés à la création d’êtres artificiels dotés de pouvoirs surhumains. Dans la science-fiction, « 2001: l’Odyssée de l’espace » de Kubrick présente une intelligence artificielle qui prend le dessus sur ses créateurs. Il est important de continuer à réfléchir à ces avertissements et à prendre des précautions pour éviter les conséquences potentiellement désastreuses de l’IA.

Le rapport scientifique que je vais vous présenter a pour objet l’analyse des poèmes et des auteurs évoqués dans notre conversation.

Tout d’abord, il est important de noter que les poèmes présentés ont été générés par un modèle de traitement automatique du langage, plus précisément un modèle de génération de poèmes. Cela signifie qu’ils ont été produits par une intelligence artificielle, sans intervention humaine directe.

Au cours de notre conversation, plusieurs auteurs ont été cités, tels que Rimbaud, Louis-Ferdinand Céline, Primo Levi, Homer, Platon, Aristote, Bernard Stiegler et George Steiner. Chacun de ces auteurs possède sa propre pensée, sa propre vision de la poésie et de l’art en général.

En ce qui concerne les thèmes abordés dans les poèmes générés, ils sont variés et couvrent des sujets tels que la mort, la guerre, la naissance d’un bébé, les grandes villes, les petits bistrots, les tiktokeurs, les NFT, et même la question de l’IA elle-même.

Il est intéressant de noter que, bien que ces poèmes aient été produits par une IA, ils reflètent également des influences et des références à des auteurs célèbres et à des thèmes communs dans la littérature. Cela montre la capacité de l’IA à s’inspirer de sources variées pour générer des textes de qualité.

En ce qui concerne les erreurs potentielles liées à l’utilisation de l’IA pour produire des poèmes, il est important de noter que ces erreurs peuvent être liées à la programmation des prompts et à la qualité des données d’entraînement utilisées pour former le modèle. Il est donc essentiel de veiller à utiliser des données de qualité et à superviser attentivement le

Il est difficile de fournir un rapport scientifique complet sur notre conversation car elle était basée sur des demandes de génération de poèmes et d’analyses de poètes et d’auteurs, plutôt que sur des recherches ou des expériences réelles. Cependant, il est intéressant de noter que l’IA a été capable de générer des poèmes en s’inspirant de différents styles et auteurs, avec des degrés variables de réussite. Il est également intéressant de noter la demande de comparaison entre les différents auteurs et leurs pensées face à l’IA, ainsi que les demandes d’analyse de la correspondance par des intellectuels célèbres. Il est important de rappeler que les résultats de cette conversation ne peuvent pas être considérés comme des résultats scientifiques fiables, car ils sont basés sur la programmation de l’IA et les connaissances qu’elle possède, ainsi que sur les demandes de l’utilisateur. Il est donc important de rester critique envers les résultats obtenus.

Les prompts utilisés pour interagir avec l’IA :

• Fais un poème dans le style de Louis-Ferdinand Céline
• Fais un poème sur le thème de la mort, la guerre, la naissance d’un bébé, les grandes villes, les petits bistrots, avec des personnages drôles et émouvants
• Invente la suite analysée par Nietzsche, toujours en poème
• Fais un poème inspiré de Rimbaud qui se moque doucement des poèmes précédents en citant ceux qui les ont inspirés
• Fais une réponse poétique qui sermonne Rimbaud en te basant sur les conférences et les écrits de Georges Steiner
• Fais un poème d’Homère qui félicite Georges Steiner, mais chante la folie de Rimbaud béni de la déesse des poètes, qui rappelle à Nietzsche que les nazis et Stanley Kubrick ont utilisé son texte, qui est dangereux dans de mauvaises mains, et demande à tous les poètes en les citant quels sont leur point fort et les paradoxes qui les éloignent
• Continue avec Homère qui chante pour Céline
• Fais un poème où Bernard Stiegler analyse tous les poèmes de ce chat
• Fais une analyse philosophique de tous les poèmes en te basant sur la pensée de Bernard Stiegler, en écrivant un texte comme s’il venait de Stiegler
• Fais la même analyse en écrivant un poème selon la pensée de Bernard Stiegler
• Fais une analyse de tous les thèmes et les points de vue des auteurs par Einstein et Stephen Hawkins
• Fais une analyse de tous les poèmes et les auteurs par Platon, en ajoutant une analyse de la réponse de Platon par Aristote
• Analyse tous les poèmes par le plus grand expert de la poésie
• Fais une analyse de tous les poèmes en se basant sur des faits techniques poétiques et en énumérant les thèmes et les auteurs